Le syndicalisme, engagement étudiant

« L’étudiant est un jeune travailleur intellectuel »

, tels sont les mots de la charte de Grenoble en 1946, charte fondatrice du syndicalisme étudiants. Les syndicat étudiants était aux premiers rangs des grandes luttes, de Mai 1968, aux mouvements sociaux des années 2000, il était présent dans chaque luttes. Ils ont vécu durant la fin du 20e siècle une forte croissance, leurs nombres d’adhérents ne faisait que croitre. Mais depuis quelques décennies les syndicat étudiants sont en pertes de vitesse, leurs nombres d’adhérent est en baisse et l’intérêt à leurs égard aussi. Comment expliquer que les étudiants en difficulté ne passent plus par les syndicat pour s’exprimer? Y-a-t-il eu une perte de confiance entre les syndicat et les étudiants? Nous pouvons notamment l’illustré avec l’élection des représentants au conseil de Gestion de l’UFR Droit Science po. Durant ces élection la participation était très faible avec une abstention exponentielle. Sur 2164 électeurs inscrit dans l’UFR droit Science Po, seulement 415 ont votés. Pourtant cette élection est central, le conseil d’administration est en coeur de la vie étudiante dans l’UFR et est l’endroit où les revendications peuvent être exprimer. Pourtant l’UNEF parviens à faire remonté un certains nombres de revendications des étudiants, notamment en Mars dernier lorsqu’ils ont lancer une pétition pour qu’une seconde session est lieu dans les Master de Droit à la faculté de Amiens. Ou encore il y a quelques mois, où dans une pétition ils demandent l’ouverture d’un restaurant universitaire au pôle citadelle.

Pourtant l’UNEF parviens à faire remonté un certains nombres de revendications des étudiants, notamment en Mars dernier lorsqu’ils ont lancer une pétition pour qu’une seconde session est lieu dans les Master de Droit à la faculté de Amiens. Ou encore il y a quelques mois, où dans une pétition ils demandent l’ouverture d’un restaurant universitaire au pôle citadelle.

Pour pouvoir mieux comprendre ce phonème j’ai souhaiter interrogé deux étudiants, tout deux dans des études différentes et avec un parcours militants différents. Ainsi une membre de l’UNEF nous explique qu’à la base elle n’avais aucune connaissances dans le syndicalisme étudiants, mais que des rencontres avec les membres de l’UNEF l’on amener à apprendre le rôle des syndicats et à s’engager au sein de ce syndicat qu’elle considère comme « en adéquation avec ses valeurs ». Pour elle le syndicalisme étudiants est nécessaire pour que les droits des étudiants soient exercés. Mais pour cela il faut s’avoir que ces droit existe et c’est ici selon elle que les syndicat trouve leurs sens, la diffusion de l’information. À l’inverse nous avons souhaiter interroger Alexandre étudiants en médecine et peut politisé. Il me dis lui même s’intéresse peu voir pas du tout aux syndicats étudiants. Si il réfute d’abord leurs intérêts pour les étudiants et la connaissance de leurs droits. Il me dis tout de même que finalement les syndicat ne sont que réservoir à militants de certains partis politiques et que par ce fait il ne veux pas être utilisé comme un instrument politique service des partis. Selon lui les syndicat actuel ne servent plus à « grand choses », les luttes passé sont « très bien » même si il reste assez critique sur Mai 1968. Il est d’ailleurs aussi critique à l’égard de l’UNEF particulièrement, il est politiquement de droite et pense favorise les syndicat comme l’UNI Il en résulte que ce phonème est le résultat d’un processus de désintéressement des étudiants envers syndicats, tant pour des raisons de positions politiques, que pour de supposé croyances, mais majoritairement ce qui se dégage le plus c’est la méconnaissance du syndicalisme étudiant et ce à quoi il sert vraiment.


Lavigogne Vincent, L2 Science Politique.

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