L’actualité musicale, miley cyrus, gorillaz, zola, une rentrée chargée en nouveautés
Les partiels approchent pour beaucoup d’entre nous et quand le stress est à son comble, quoi de mieux qu’un peu de musique pour décompresser? surprise de l’agenda, en ce moment les albums pleuvent à n’en plus savoir où en donner de la tête. Et c’est le groupe britannique gorillaz qui a ouvert le bal avec leur dernier album «cracker island» sorti en février, quittant le coté expérimental de «song machine» le groupe nous propose ici des rythmes pop dansants et frais complimentés par la voix douce et apaisante de damon albard. le groupe amène aussi comme un son habitude un grands nombre de featurings parmi lesquels tame impala, thundercat et bad bunny qui apporte
chacun leur touche à l’univers décidément éclectique de gorillaz. la surprise du moment, c’est aussi le retour de miley cyrus avec son single «flowers» en haut du top 50, issu de l’album endless summer vacation sorti le 10 mars. L’artiste américaine montre encore une fois sa singularité en s’écartant un peu plus d’un son pop classique pour experimenter avec d’autres genres musicaux alllant de la country à la trap en passant par des influences pop-punk. dans ses textes, l’artiste nous parle de recherche de l’amour propre et de indépendance, une thématique qui résonne évidemment
avec l’enpowerment féminin que miley a toujours défendu. Enfin, comment passer à coté de l’artiste français du moment, zola avec son album «diamant du bled» qui s’offre l’un des meilleurs démarrages de l’année. zola y propose un rap new school entraînant avec une aproche du rythme à la croisée entre un niska et un koba laD. Celui qui aspire à devenir «un vrai artiste» dont on «se rappelleras dans dix ans», selon ses propres dires, propose également des textes plus matures et introspectifs, parlant notamment de son rapport à la musique et de son besoin de créer.
Au delà des sorties et du top 50, il fallait bien sûr s’intéresser à ce que les étudiants de l’UPJV écoutent vraiment, alors on est allé leur demander.
Pour Morgann, étudiante en art, c’est stupeflip qui tourne en boucle dans ses playlists: «l’univers et les personnages qu’ils ont crée m’atteignent particulièrement, ça me permet de m’échapper un peu de la réalité», «je suis touchée par l’esthétique camp qui se dégage de leurs albums, ça booste ma créativité».
Ilann, lui, étudiant en sciences, se dit réconforté les dernières productions de liana flores: «j’aime particulièrement me balader avec ses sons dans les oreilles, ça correspond parfaitement à la vibe que je ressens», «c’est apaisant, comme un coucher de soleil autour d’un feu de cheminé» enfin un étudiant de sociologie (qui préfère rester anonyme) nous parle de rebeka warrior «je sais pas d’où ça m’est venu, sûrement un tiktok qui a dû me relancer», «c’est assez avant gardiste au niveau des sonorités et puis les paroles proposent quelque chose de plus osé que des histoires
d’amour bateau».
